Spectacles de Noël, fêtes de bureau et soupers de famille, les occasions de célébrer ne manquent pas! Vous soupirez en passant sous le gui? Il y a une solution très simple pour rester festif dans les prochains jours… et ça n’a rien à voir avec l’alcool!
En tant qu’enfants de Dieu, nous avons le privilège d’avoir accès à la joie parfaite, celle qui n’a rien à voir avec nos circonstances. Ce n’est pas un sentiment, c’est un fruit de l’Esprit (Galates 5.22). Cette joie ne dépend donc pas de notre état émotionnel ou de nos déceptions. Elle fait de nous un exemple, une lumière dans les ténèbres (Matthieu 5.14). Nous n’avons donc pas besoin d’être en couple pour être heureux durant les fêtes.
Si cela n’est pas suffisant, pour vous donner bonne mine, vous pouvez aussi trouver une raison de vous réjouir en changeant tout simplement votre point de vue.
Dans notre société de consommation et de confort, il est facile de chercher à satisfaire nos propres désirs durant cette période. Tous les messages publicitaires nous parlent de gâter notre entourage et bien sûr, de penser aussi à nous-même. Toutes les indulgences sont permises pour nous amener du plaisir. Pourtant, ce message n’a rien à voir avec la vraie raison de notre célébration.
Noël, c’est le moment de l’année où nous célébrons l’anniversaire de notre Sauveur. C’est sa fête à lui! Alors, prenons quelques minutes pour comparer sa fête à la vôtre.
Comment vous sentiriez-vous, si le jour de votre anniversaire, vos invités ne faisaient que critiquer les décorations et se plaignaient de ne pas avoir trouvé l’habit parfait pour venir à votre fête? Ou que diriez-vous si tous vos invités se parlaient entre eux, festoyaient et vous ignoraient complètement, vous, le fêté? Ou encore, que feriez-vous si une des invités se mettait à pleurer parce qu’elle n’avait pas reçu le cadeau qu’elle désirait… le jour de “votre” fête?
Lorsque nous célébrons notre fête, nous voulons des invités qui sont contents de nous voir, qui nous aiment et nous célèbrent. Même si leur vie n’est pas parfaite, nous nous attendons à ce qu’ils mettent leurs propres désirs de côté et qu’ils se réjouissent avec nous. Après tout, c’est notre fête, c’est notre journée spéciale, celle où nous sommes le centre de l’attention.
Alors, même si nous n’avons pas tout ce que nous aimerions avoir, même si nous aurions voulu être en couple ou avoir un emploi gratifiant, mettons tout cela de côté et choisissons de tourner notre attention sur le fêté : Jésus! Cette période des fêtes n’a rien à voir avec nous! Nous ne sommes pas la personne fêtée! Choisissons d’être l’invité parfait à son anniversaire. Cette personne qui met en valeur le fêté, qui s’occupe de ses besoins, qui illumine la soirée par sa bonne humeur. Nous n’ignorons pas nos besoins ou nos rêves; mais pour une journée, nous vivons pour rendre le fêté heureux et pour l’honorer avec tout ce que nous sommes.
Bonne fête Jésus!
“Aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur” (Luc 2.11 LSG)